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 Cours 3 - 17/10/11

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Sophie
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Cours 3 - 17/10/11 Empty
MessageSujet: Cours 3 - 17/10/11   Cours 3 - 17/10/11 I_icon_minitimeJeu 20 Oct - 7:56

[Comme il y a 7 pages Word, je ne vais pas prendre le temps de mettre les choses en gras et en italique, je vous laisse faire selon votre bon plaisir ^_^][Le tableau n'est pas passé, je ne sais pas comment l'intégrer]


Rappels:

NB : Le Haut Moyen Age : 9e s.- fin 13e s.
NB : L'oeuvre n'existe qu'oralisée.

Trois genres littéraires :

- la chanson de geste, genre épique, héritier de l'épopé (expl : Ulysse - Illiade et Odyssé ; Virgile - Enéide) ;
- le roman et la poésie courtois ;
- le roman et les fabliaux satiriques


2.6.1. Le narratif

Le narratif est le genre principale du Haut MA : raconter une histoire (roman = genre narratif par exellence). Les deux genres principaux genres du narratif : chanson de geste et roman courtois.

Extraits lus

A. La chanson de geste :

Age d'or : au 12-13e s., à la fin du Haut MA.
La chanson fondatrice est la Chanson de Roland. La chanson de geste est toujours écrit en vers, comme le roman courtois. La notion de geste renvoie au contenu - convoque essence de faits héroïques dignes de mémoire, récits de faits héroïques. Aussi sur le tard vient l'idée d'un cycle (= 3ème sens) :
1 = faits
2 = récits de faits
3 = cycle

La chanson renvoie plutôt à la forme de ce type de récit, parce qu'elle est à l'origine chantée. Cela indique aussi l'existence d'un « moule » épique, contrairement au roman courtois. En effet, la chanson de geste est une matière épique (épopée), alors que le roman courtois est une matière courtoise (quête=amour courtois). Certains textes possèdent d'ailleurs des annotations musicales.

NB : attention : l'épopée n'est pas éternelle, elle meurt vers le 12e siècle.

On suppose, d'après le rythme du texte, qu'il y avait une mélodie simple (voir prosodie), c'était tellement répétitif qu'on suppose qu'une seul mélodie se répèté à chaque fois, pour chaque strophe la laisse)(>< strophe). Il y a des traces d'oralité dans le texte, par exemple : on interpelle le public. Il y a donc une facilitation de mémorisation du texte pour ceux qui doivent le chanter sans avoir le texte sous les yeux.

NB : Vocabulaire :
prosodie = rythme des vers -  Ensemble des règles concernant l'étude de l'intensité et de la durée des sons
laisse = couplet d'une chanson médiévale qui a une longueur variable
strophe = (paragraphe dans une poésie) longueur répétitive
TRACES : manuscrits de travail (manuscrits moins luxueux, petit format, une seule colonne très serrée, pas d’enluminures)(= manuscrits de jongleurs) et manuscrits très couteux destinés au commerce et archivés dans des bibli de nobles. Les manuscrits sont donc soit des objets de travail sobres, soit des manuscrits de luxe destinés au commerce (gardés dans des bibliothèques, très rares).

Cycle de vie d'une chanson de geste :

- 1. composition (deux écoles qui s'opposent : oralisation ou écriture d'abord ? En tout cas, jamais rien de fixe, le copiste peut changer tant qu'il veut, il y a un mélange des deux en tout cas) ;
- 2. transmission orale (on est sûr qu'elle est orale) ;
- 3. réception (comme pour le livre) : réception des auditeurs et réception des manuscrits (par le jongleur qui garde trace du manuscrit de travail, ou par un riche qui garde la chanson qu'il a aimée chez lui/l'objet luxueux qui lui paraît beau) ;
- 4. répétition : reproduction de l’œuvre (oralement par les jongleurs, ou de façon écrite quand la chanson a assez de succès).

C'est à partir du 11e siècle que les chansons de geste vont raconter les aventures de personnages non religieux. On prend les sujets dans l'histoire récente des siècles antérieurs. Pas plus loin que Charlemagne. --> Deux nouveautés donc : fait qu'on s'intéresse à l'histoire mais aussi fait que l'on s'intéresse à autre chose que la religion.

Écriture :

- 1er trait : idéal de la société féodale (répété dans la Chanson de Roland). Pour transmettre cet idéal aux auditeurs. Idéal : respect absolu des engagements féodaux entre suzerains et vassaux. Accord très solennel et officiel, engagement qui ne peut être cassé.
- 2ème trait : la morale chevaleresque. On crée l'idéal du chevalier ; l'idéal et la déontologie.
- 3ème trait : mettre les qualités guerrières au service de la foi.

Morale chevaleresque :

- mépris de la fatigue (il ne peut être fatigué) ;
- il ne peut avoir peur, il ne peut craindre le danger, il doit être téméraire ;
- il est toujours être fidèle à son seigneur ;
- c'est une caste qui existe dans la société et qui vit uniquement pour la guerre. La best arbarie revendiquée par les chevaliers, ils éprouvent de la fierté à accomplir leur métier de guerrier sanguinaire.

A partir des croisades, l’Église met les chansons de geste à son service, elle va les récupérer. Matière historique mais but chrétien, et un des buts est d'aller délivrer la terre sainte des païens.

Le fait que ce soit tellement tourné vers la quête des chevaliers, ça montre que c'est quelque chose de restreint, qui vise un public précis, la caste des chevaliers et son entourage. C'est un genre noble.

Extrait de la chanson de Roland (voir syllabus - deux laisses)(extrait à la fin du récit).

NB : à la fin de certaines laisses : AOI : énigme : qu'est-ce que ça veut dire ? On n'en est pas sûr. Hypothèse la plus prisée : Alpha - Oméga - Iode (début, fin, Jésus)

Conclusion :

Idéologie : l'épopée reflète les valeurs guerrières de la classe de l'aristocratie (par et pour les nobles). Importance de la prouesse guerrière, du courage personnel, de l'honneur, de la fidélité et de la parole donnée (méchant de l'histoire : Ganelon, traître, qui met l'armée de Charlemagne en danger, il renie la parole donnée au suzerain).
Personnages : ils sont interchangeables, ils n'ont pas de caractéristiques propres. Sauf peut-être Roland, qui est plus prétentieux que les autres et met l'armée en danger à cause de cela (ce comportement est d'ailleurs critiqué). Ce ne sont pas des personnages mais des fonctions en fait : le chevalier, le traître, l'empereur, le méchant sarrazin (barbare, ignare, pécheur).
Style : le genre basé sur la répétition, on suppose que c'est parce que ça devait être chanté. Sur l'exagération également (expl : un preu occidental tranche un musulman de la tête aux orteils d'un coup d'épée, et le cheval du musulman avec). Exagération voulue.

Voir article dans le syllabus.

NB : Parallèle avec la peinture en fait.

NB : le cadre de la comparaison chanson de geste / roman courtois n'est pas à connaître par coeur.

NB : Assonances pour les rimes : c'est une rime mais qui ne respecte pas les règles que l'on connaît (dans les laisses).


B. Le roman courtois

Matière courtoise, mais Tristan et Iseult n'est pas le roman le plus typique pour ce genre.

A partir du 11e siècle, dans le Sud de la France (partie d'Oc) naissent les troubadours. Ils créent le principe de l'amour courtois et font les premiers romans courtois. Ils sont vite imités dans le nord par les trouvères, à partir du 12es. Ils créent l'idéal courtois. Engouement dans le sud puis dans le nord, effet sur les moeurs des gens qui se sont raffinés.

Le roman courtois est aussi un roman chevaleresque, mais il ajoute une valeur supplémentaire, la valeur courtoise. L'idéal courtois se base sur le service d'amour au lieu d'une quête. Préoccupation amoureuse au coeur de la cour. La cour imaginaire du Roi Arthur (= matière de Bretagne) est l'endroit idéal qui représente toutes les cours réelles. Cet idéal ne concerne donc ici que la cour et s'adresse uniquement à la cour. D'où le mot courtoisie. Chanté par des nobles qui se produisent devant des nobles, pas par des ménestrels.

L'idéal du chevalier brave est donc toujours présent, mais en plus ce chevalier va avoir le désir de plaire à une dame, ce qui est une chose nouvelle. Ca se voit dans l'importance donnée à sa beauté physique, à la manière dont il s'habille et se pare. De plus, ce sont des romans où les femmes sont présentes. Ici, elles ont une sorte de rôle de héros en tant qu'objet de la quête du chevalier.

Le chevalier doit donc faire un service d'amour pour la femme, doit s'adonner à des activités qui ne sont pas uniquement guerrières. Il fait des tournois, mais il peut aussi s'intéresser à la musique, à la poésie. Une des règles du service d'amour : toujours être mesuré, maître de ses passions. Le service d'amour est en fait calqué sur l'expression « service militaire ».

But : porter à la perfection ses qualités de chevalier et de courtoisie (càd être bien habillé, parler à la perfection, etc.). Le vocabulaire est calqué sur celui militaire.

Extrait de Tristan et Iseult

Tristan et Iseult : tiré de beaucoup de traditions différents, et toutes les versions se sont mélangées et mutuellement influencées. Une version est attribuée à un certain Béroul et qui date de la fin du 12e siècle, mais on ne sait rien de lui. Il a fait la version dite « commune », il a rassemblé toutes sortes de traditions. Un manuscrit incomplet de Thomas a aussi été trouvée (des fois on dit « de Thomas et Béroul »).Version également de Marie de France existe également, « Le Lais du Chevrefeuille ». Mais on ne sait rien de ce personnage.

NB : Idéal chevaleresque VS puissance du filtre.

NB : Pour le cours: à lire en livre de poche, version de René Louis.


C. Le roman satirique

Le Roman de Renart : Roman animalier, populaire, fait pour le peuple et aussi pour les nobles. Ce n'est pas un roman inconvenant, mais il va se moquer d'un travers d'un personnage précis dans une classe sociale. Il se moque par exemple d'un chevalier qui est un mauvais chevalier pour faire comprendre qu'il faut en être un bon, bien appliquer la valeur. Ce n'est pas un roman contestataire. C'est dans cette optique-là qu'on le considère comme satirique.

Anecdote : ce roman a eu tellement de succès que le mot « renard » est rentré dans la langue française, avec un « d », à la place de « goupil », juste à cause du succès du nom de Renart.

Structure : très courts chapitres, héritage des fabliaux (ce roman est une sorte d'assemblage de fabliaux mis bout à bout)(fabliaux : forme en vers qui met en scène souvent des animaux et qui se termine par une morale). Les fabliaux et le roman satirique vont disparaître et vont être remplacés par la farce au Bas MA.

Renart représente la queste des chevaliers.

Extrait du Roman de Renart (extrait qui a inspiré La Fontaine, déjà repris d'Esope)


2.6.2. Le poétique

-->Le lyrisme courtois (lyrisme : expression des sentiments personnels, en « je »).

Exemple de poète : Jean Bodel pour le Haut MA. Il vient d'Arras, et c'est lui qui a créé le théâtre français, avec la première pièce de théâtre française, « Le jeu de Saint Nicolas ». Il invente le genre des congés. Mais la poésie naîtra en fait au Bas MA, après ce poète-ci (poésie courtoise très rare).

Extrait des congés.

Dans ces sept congés, on comprend que le narrateur est malade (corps pourrissant, il doit avoir la peste, pour ça qu'il écrit à ses amis qu'il ne peut plus voir, il a été emmené dans une léproserie par les préposés). L'auteur et le narrateur sont une seule et même personne.

Le courant courtois a introduit la subjectivité dans la littérature. Il fallait le roman courtois pour que le lyrisme puisse naître. Courtoisie ici : expression des sentiments de l'âme ; amitié, pas amour.

NB : synthèse dans le syllabus, pour différence entre narratif et lyrique, différent de vers et prose. 

NB : La veine narrative raconte des histoires en vers. La veine lyrique en prose. Puis tradition où ça s'inverse. A noter que les historiographies (1200) sont en prose.



3. LE BAS MOYEN-AGE


14e-15e siècle

NB : Quand on ne connaît pas l'auteur mais que le texte a été édité au sens anglo-saxon du terme par un spécialiste, celui-ci est signalé à la place de l'auteur (ou avec l'auteur) par « (éd.) ».


3.1. Les genres et leur public

3.1.1. Qu'est-ce qu'un genre ?

L'indication du genre (roman, récit...) se fait dans les romans actuels (sur la couverture du livre), et est plutôt pour la production restreinte. On peut invoquer deux arguments pour expliquer ce fait :
- le maniement de ces typologies est un des signes de compétence des lettrés ;
- il y a différents types de classements (par genre, par maison d'édition/collection, par thèmes) - discours d'accompagnement intégrés à l'objet, par stratégie de l'auteur ou de la présentation au dos...

Genre : classement traditionnel des textes en fonction de leur forme générale.
Par exemple : le roman, la nouvelle, la pièce de théâtre, la poésie, le récit de vie, la lettre, la presse, les notices, les dictionnaires, la BD, l'album jeunesse. Par rapport à la forme de l'objet.


3.1.2. Les types de textes

Type : Un type de texte, c'est un classement des textes ou des éléments d'un texte fondé sur des critères linguistiques.
Par exemple : informatif, narratif, argumentatif, injonctif, poétique...

Exemple article : « Fuir », Jean-Philippe Toussaint (notice bibliographique = genre)(voir Livre du mois de Livre-Hebdo). Type : informatif pour la première partie, narratif pour la suite.
Exemple 2 : extrait du livre : narratif.
Exemple 3 : biographie de l'auteur : informatif
Exemple 4 : interview : argumentatif (et un peu informatif)(voir injonctif, il donne sa recette pour écrire et donne presque un ordre)
Exemplre 5 : règlement : injonctif
Exemple 6 : Testament de Vion : poétique

Détails : voir syllabus.

Jeu sur les types :
« La Vie, mode d'emploi », Georges Perec : recette mais dans un roman.
« Au pays d'Eudoxie » ; Renée de Obaldia : récit poétique avec consigne dedans.


3.1.3. Les genres littéraires

Au MA. Rappel : passage du Haut MA au Bas MA (--> passage entre Platon et Aristote).

Platon (platonisme) : Haut MA (trois idées : Beau, Vrai, Bien). Pour Platon, le monde est juste une image que nous observons et chaque chose n'est jamais que l'image de sa perfections qui est une idée (qu'on associe, nous, à dieu).
Par rapport au genre littéraire, ça influe. La littérature tient une grande place dans les conceptions de Platon. L'art est un mensonge imitant et déformant la nature et ses objets, qui sont eux-mêmes le reflet inexact de l'Idée. L'Idée est la représentation idéale d'une chose. D'après Platon, à travers l'objet, il y a une idée parfaite de son identité. Tout se trouve dans un monde supérieur abstrait. A la naissance, nous avions ces idées-là, l'éducation nous les a fait perdre, mais on pourrait les retrouver. La littérature est une imitation (mimésis) de la réalité, elle-même reflet de l'Idée, Idée qui, elle, est parfaite. La littérature est un miroir très déformant de la réalité.
Dès lors, tous les auteurs du Haut MA qui font de la littérature vont devoir se justifier parce qu'écrire de la littérature est mal vu. Ce sera sérieux et rarement humoristique, sauf dans le peuple.

Extrait de Saint Augustion qui reprend déjà cette perception de la littérature, du théâtre.

Au Bas MA, on redécouvre Aristote, qui avait une autre façon de voir la littérature.

Aristote : élève de Platon. Il vit plutôt dans le monde empirique, dans le monde de la réalité. La « Poétique » (livre important et très court sur la distinction des genres) réhabilite la poésie exclue par Platon de la cité politique. La poétique, ici, c'est la science qui étudie comment fonctionne un récit (narratologie de nos jours). Quand on fait une fiche de lecture, on fait de la « poétique ». Pour Aristote, la poétique a une vertu morale, grâce à la purification (catharsis) qu'elle apporte aux passions humaines. Il reprend l'imitation de Platon et la catharsis. La catharsis est le plaisir paradoxal que l'on éprouve au spectacle d'une tragédie. Bénéfique, parce que ça nous permet de nous purger de nos passions. Purgation.

Exemple : Umberto Eco, Le Nom de la rose. Héros : Guillaume de Baskerville.
Extrait. Jorge = platonicien, Guillaume = aristotélicien.

Modèle d'Aristote : il distingue tous les genres littéraires à travers trois grands critères :
- Littérature = imitation (mimésis = mode de représatation du réel), et la science du récit, c'est la poétique.
- Persuasion et la science de la persuasion, c'est la rhétorique.

Extraits.

Tableau de distinction de genre dans la littérature :
- Objet supérieurs opposés aux objets inférieurs (comme dans Le Nom de la rose).
Supérieur : Homère, Ulysse
Inférieur : la parodie
- Mode dramatique et mode narratif :
mode dramatique = le théâtre
mode narratif  = récit en prose, roman actuel.

Tableau reprendant les modes supérieurs et inférieurs. Tableau important :

Objet/Mode
Dramatique
Narratif
Supérieur
Tragédie
Sophocle
Epopée
Homère
Inférieur
Comédie
Aristophane
Parodie ?
(--> narration comique)

Mais on a perdu le livre qui parlait du monde inférieur (second livre d'Aristote - voir Le Nom de la rose), donc on n'a pu que supputer.

Comédie : genre dramatique destiné à faire rire, mais aussi à éduquer quant au bien et au mal, et qui se définit par ses sujets, souvent pris dans la vie quotidienne, et son dénouement heureux.
Exemple : La Farce de Maître Pathelin

Parodie : au sens strict, texte qui en transforme un autre sur un mode ludique (sans intention critique) ; au sens large (le plus répandu), texte qui en transforme un autre, avec une intention ludique ou critique.
Il y a un réécriture donc.
Exemple : Shrek ou Watchmen.

Pastiche : au sens strict, qui en imite un autre sur un mode ludique (sans intention critique), au sens large (le plus répandu), texte qui en imite un autre, avec une intention ludique ou critique.
Il y a une imitation donc.
Exemple : L'enchanteur de Barjavel.
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Sarah
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MessageSujet: Re: Cours 3 - 17/10/11   Cours 3 - 17/10/11 I_icon_minitimeMer 23 Nov - 2:08

Merci!
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Sophie
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MessageSujet: Re: Cours 3 - 17/10/11   Cours 3 - 17/10/11 I_icon_minitimeJeu 24 Nov - 2:35

De rien ^_^. Je vais essayer de mettre en forme le cours de cette semaine ce week-end, pour le poster ici. Mais il est très très long!
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MessageSujet: Re: Cours 3 - 17/10/11   Cours 3 - 17/10/11 I_icon_minitime

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